vendredi 5 juillet 2013

Le 05/07/2013 La presse parle de nous ! Ekium compte, à l’horizon 2015, + 200 personnes & CA >70 M€


Le 05/07/2013 La presse parle de nous ! Le groupe lyonnais d’ingénierie Ekium compte, à l’horizon 2015, embaucher 200 personnes et franchir la barre des 70 M€ de chiffre d’affaires. Ekium a clôturé son exercice 2012 sur un chiffre d’affaires de 50 M€, en progression de 4%, avec un résultat net de 1 M€. Sans la cession des activités en Roumanie en février 2012, la progression aurait atteint 8%. Cette contraction résulte de la concentration des activités sur l’Hexagone où le groupe lyonnais d’ingénierie a ouvert une agence à Montpellier, renforcé ses effectifs à Pau et au Havre, prévoit une nouvelle implantation à Toulon et étudie le projet d’une implantation à Mulhouse, pour conquérir l’Alsace où il n’est pas encore présent. A l’international, qui représente 30% du chiffre d’affaires, principalement dans le stockage des produis pétroliers et les biotechs/pharma, la société conserve son antenne en Pologne. En France, où elle emploie 500 salariés (300 en Rhône-Alpes), Ekium renforce son positionnement dans l’énergie 22% du CA), particulièrement dans le nucléaire (12% du CA). « Nous bénéficions de l’effet Fukushima, qui oblige les opérateurs à investi dans la sécurité de leurs installations, note Philippe Lanoir. Et avec l’augmentation de la durée de vie de dix ans des centrales, ce secteur restera l’un des moteurs de croissance de notre groupe ». L’autre raison de la bonne santé de l’entreprise tient à une stratégie qui tranche avec celle de ses principaux concurrents. « Nous signons des projets avec un engagement de résultats », précise le Pdg du groupe. Pour 2013, Ekium anticipe une stagnation du secteur chimie fine-pharma, un ralentissement du raffinage, mais une progression de la chimie de base et de l’énergie. « Nous avons l’ambition de rester un acteur de référence de l’ingénierie de proximité et de confirmer notre statut de leader dans les contrôles de commandes », insiste Philippe Lanoir. Le développement du groupe dépend de la santé de ses clients. « Pour l’instant, le carnet de commandes et le portefeuille de devis affichent de bons niveaux. Mais nous n’avons aucune visibilité sur l’avenir », poursuit le dirigeant, qui prévoit, à l’horizon 2015, d’embaucher 200 personnes e de franchir la barre des 70 M€ de chiffre d’affaires. Le financement de ce développement ne semble pas être une préoccupation. Les dirigeants d’Ekium n’ont pas l’intention d’ouvrir un capital détenu à 60% par un fonds d’investissement, 30% par les fondateurs et 10% par l’encadrement. « Notre problème es ailleurs, dans le recrutement d’ingénieurs entrepreneurs, un couple introuvable sur le marché du travail. Les meilleurs quittent le territoire. Nous assistons à un exode des cerveaux qui devient inquiétant », alerte-il. Paradoxalement, la crise na pas fait bouger les curseurs dans un secteur très atomisé, peu gourmand en investissements, qui recule les opérations de restructuration et les rapprochements. « Je suis surpris de ne pas voir les acteurs étrangers attaquer le marché français, ironise Philippe Lanoir. Sans doute le jugent-ils peu sexy ! » Une autre exception française. Antonio Mafra Vendredi 17 Mai Journal tout Lyon Affiche - Economie rubrique l’homme de la semaine. Voir la source

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...