Témoignages Clients


Lien SNC LAVALIN : Une collaboration de confiance, inscrite dans la durée 
Daniel ALVA, Directeur technique
Société d’ingénierie, SNC Lavalin intervient, depuis le rachat de Sogéquip, dans divers domaines d’activité tels que l’industrie, la chimie, la pharmacie, le froid et le conditionnement d’air. Une évolution à laquelle EKIUM, en tant que partenaire depuis 1993, a su s’adapter.


Lien AÉROPORT DE SAINT EXUPERY : Réalisation du nouveau dépôt pétrolier
Hakim DJILALI, Chargé d'études de développement
C'est dans le cadre d'un projet de réaménagement global pour faire face au développement du trafic aérien qu'Aéroports de Lyon a entrepris depuis quelques temps la modernisation de ses installations. Ainsi, l'un des projets principal actuellement en cours, mené de concert avec EKIUM dans sa phase amont, consiste en la construction du nouveau dépôt de carburant.


Lien GENZYME : Gestion de l'automatisation de l'environnement de production
Alexis DUCANEL, Responsable automatisation
Genzyme fait partie des sociétés leader dans le domaine de la biotechnologie-pharma. Spécialisé dans le traitement des maladies rares, le site de Lyon est dédié à la production de la Thymoglobuline : la molécule anti-rejet à destination des grands greffés. Rencontre avec Alexis Ducancel, Responsable Automatisation au sein de Genzyme, qui a travaillé sur le projet d'automatisation du nouveau site, en collaboration avec EKIUM.


Lien SNCF Reconstruction et mise aux normes des stations de distribution de carburant
Julien Guille, Chef de projet à l’ingénierie
Etablissement public à intérêt commercial, la SNCF a pour principales missions le transport ferroviaire de voyageurs et de marchandises. Julien Guille, Chef de projet, revient sur le projet de reconstruction et de mise aux normes de la station de distribution et stockage de carburant de Lyon Vaise, mené en collaboration avec EKIUM.


Lien CNR modélisation du système d’alimentation hydraulique du canal de Panama
Mattia Scotti, Chef du Laboratoire d’Hydraulique et Mesures
La Compagnie Nationale du Rhône a, historiquement, aménagé le Rhône de Genève à la Méditerranée au travers d’installations hydroélectriques ces 50 dernières années. Aujourd’hui la CNR - filiale de GDF Suez - est le 2ème producteur d’électricité au plan national. Parallèlement, la CNR réalise des missions d’ingénierie pour valoriser son savoir-faire notamment en hydraulique. Elle a actuellement en charge la validation sur modèle physique réduit à l’échelle 1/30ème, le système hydraulique d’alimentation des nouvelles écluses de Panama. Mattia Scotti, Chef du Laboratoire d’Hydraulique et Mesures, revient sur ce projet mené de concert avec EKIUM.


Delphine Soufflet Draillant, Responsable du Développement Commercial International ETDE
« Pour une entreprise comme la nôtre qui conçoit et produit des data centers un peu partout dans le monde, produire à l’international c’est prendre davantage de risques, car, par définition les équipes sont plus éloignées. Construire en France est toujours plus facile. La dimension logistique d’un projet international est particulièrement importante : il faut être certain d’avoir le bon matériel au bon endroit au bon moment, sinon les retards peuvent s’accumuler parce qu’il manque un élément même mineur. »



Joseph Cipolla, Responsable Industrialisation Perstorp Pont de Claix
« Notre groupe chimique suédois a des projets en Chine. Pour cela, nous allons devoir exporter notre manière de fabriquer, notre mode d’industrialisation. Avant de se lancer dans un tel projet, il est essentiel de prendre la température, d’identifier où se trouvent les risques potentiels. »


Hadrien Clément, Président Nelios Prosolia
« Notre société qui réalise des études d’ingénierie photovoltaïque a de nombreux projets à l’étranger, notamment pour concevoir des fermes solaires assorties d’unités de stockage en Afrique. De telles opérations comportent un vrai risque, qu’il convient d’anticiper au mieux. En effet, au moment où nous répondons à un appel d’offres, nous devons évaluer le coût du risque justement. Sinon, la marge peut être absorbée.
En outre, la personnalité du chef de projet est importante. Un de nos projets en Afrique est à 10 heures de route de la capitale : l’ingénieur que nous enverrons sur place devra être prêt à vivre cette vie. Le risque lié au recrutement est aussi plus important qu’en Europe. »


Thibaut Trnka, Directeur des Réalisations Pharmacie Technip France
« J’ai travaillé sur des projets internationaux. C’est une expérience très motivante, où il faut être un peu baroudeur dans l’âme. Chaque jour, tout peut arriver, il faut être prêt à vivre l’inattendu en permanence. Dans la pharmacie, la question de la qualité des process est particulièrement sensible. On ne peut pas se contenter d’à peu près. Face à ces contraintes, nous multiplions les contrôles et nous auditons les fournisseurs le plus souvent possible pour éviter les mauvaises surprises. Les différences culturelles ont aussi un effet sur la progression du projet. Dans tel pays, la notion du temps est différente de celle qui a cours en France. Il faut le savoir et s’y préparer. »

Christophe DUPLANY, Responsable du département ingénierie du bureau Technip de Lyon
« Un bon partenaire est souvent quelqu’un qu’on connaît et qui nous connaît. Il est certain qu’avoir déjà travaillé avec une société est un plus, surtout si la relation a été de bonne qualité. Ce n’est pas simple, car il faut respecter à la fois le planning, le niveau de qualité attendue et le budget initial. Comme il est difficile de trouver un bon partenaire dans l’ingénierie, nous avons développé une vraie politique de fidélisation de nos partenaires. Etant certifiés Iso, la qualité des équipes avec lesquelles nous travaillons est pour nous essentielle.»


Franck Mercier, Directeur Grands Comptes International Siemens
« La réussite d’un projet international nécessite un dialogue permanent entre le siège et les équipes locales d’ingénierie. Une partie de mon travail consiste à organiser la coordination entre les uns et les autres. C’est d’autant plus important que de nombreux risques spécifiques existent. Par exemple, la notion de délai varie beaucoup d’un pays à l’autre. Il faut le savoir avant de se lancer et s’adapter. Dans un pays où la notion est plus lâche, il faut être dès le départ vigilant sur le respect du planning, le suivre de très près pour pouvoir réagir au moindre écart entre la réalisation et la prévision. »

Eric DELACOUR, Responsable commercial pour la branche Pharmacie de Siemens A et D
« Nous faisons appel à des bureaux d’études pour répondre aux demandes de nos clients. De plus en plus, pour les sélectionner, nous faisons appel à des critères objectifs que nous avons définis et nous nous assurons de l’implication de leurs équipes. Ensuite, il faut associer l’exploitant le plus tôt possible, pour qu’il s’approprie le projet, qu’il ne le découvre pas le jour de la livraison. C’est le rôle des comités de pilotage projets qui peuvent réunir les différents chefs de projet, le directeur industriel et le directeur de la division. Cela permet un vrai dialogue entre toutes les parties prenantes. Ainsi, tout le monde garde toujours à l’esprit les enjeux du projet. Le plus grand risque c’est de les perdre de vue. »


Yann CORUBLE, Chef de marché Achats, Areva
« Les grands donneurs d’ordre veulent de plus en plus forfaitiser pour limiter l’aléa. Cela n’est possible qu’à la condition de bien cadrer en amont. Quand le périmètre d’une opération est incertain, il ne faut pas recourir au forfait. Nous avons développé une méthode en deux temps avec une pré-consultation très technique qui sert à déterminer les éventuels manques du cahier des charges. Cela permet un premier chiffrage. Ce n’est en aucun cas une perte de temps : mieux vaut retarder et bien cerner les problèmes que de les découvrir en cours de réalisation. » 


Isabelle ESCARIO, Coordinatrice Achats, Cegelec
« Je collabore régulièrement avec des sociétés d’ingénierie. Elles doivent être de véritables partenaires car nous travaillons ensemble à un objectif commun : la satisfaction des clients de Cegelec. Sur certains marchés complexes ou très spécifiques, elles nous apportent non seulement leur savoir-faire, mais aussi la connaissance du client final, de ses contraintes, des bonnes pratiques du marché. Il est donc stratégique d’améliorer en permanence nos modes de collaboration. »

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