Betem joue la croissance à l'exportPublié le 04/02/2014
Vivan Peauger et Philippe Mercier de Betem./D.R
Spécialisé à l’origine dans le bâtiment et le génie civil, le groupe Betem a élargi son activité à l’ingénierie et au conseil en maîtrise d’ouvrage et se tourne maintenant vers l’export. «Notre objectif est de devenir une ETI (NDLR : entreprise de taille intermédiaire), après être passé de TPE à PME» affirme Vivian Peauger, le président de Betem Ingénierie, bureau d’études toulousain fondé en 1967. Et d’ajouter, «le cap de la structuration est passé maintenant». En effet une holding chapeaute onze sociétés devenues filiales, fruits de rachats à des fins de diversification, pour lisser les creux d’activités d’une part et répondre à un besoin d’adaptation aux réglementations d’autre part. Dernière acquisition en date, la société Chapelle à Mourenx, spécialisée en géolocalisation et cartographie des réseaux. Avec 200 salariés, le Groupe Betem a réalisé 17 M€ de chiffres d’affaires en 2013 et vise les 18 millions en 2014 à périmètre constant. Un exercice 2014 qui devrait voir la concrétisation d’un rachat à Lille, «la seule métropole de plus de 500 000 habitants dont nous soyons absents» indique Philippe Mercier, directeur général du Groupe Betem. «Il nous manque une société d’étude de la nature des matériaux» précise-t-il. Toutefois, dans l’immédiat, c’est l’étranger que vise le groupe avec la constitution de Betem International. «Avec cette filiale, présidée par Frédéric Lidos, nous souhaitons réaliser 30 % de notre activité d’ingénierie à l’export» affirme Philippe Mercier. Jusque lors, c’est depuis Toulouse, en accompagnement de ses clients industriels toulousains que Betem travaillait à l’étranger : Airbus/Aerolia au Canada, centre d’intégration et d’essais de satellites Astrium au Kazakhstan ou encore Turkménistan pour Thales. Désormais, c’est par des partenariats locaux pérennes que se fera ce développement à l’export, particulièrement dans les pays émergents où le besoin est fort.
Spécialisé à l’origine dans le bâtiment et le génie civil, le groupe Betem a élargi son activité à l’ingénierie et au conseil en maîtrise d’ouvrage et se tourne maintenant vers l’export. «Notre objectif est de devenir une ETI (NDLR : entreprise de taille intermédiaire), après être passé de TPE à PME» affirme Vivian Peauger, le président de Betem Ingénierie, bureau d’études toulousain fondé en 1967. Et d’ajouter, «le cap de la structuration est passé maintenant». En effet une holding chapeaute onze sociétés devenues filiales, fruits de rachats à des fins de diversification, pour lisser les creux d’activités d’une part et répondre à un besoin d’adaptation aux réglementations d’autre part. Dernière acquisition en date, la société Chapelle à Mourenx, spécialisée en géolocalisation et cartographie des réseaux. Avec 200 salariés, le Groupe Betem a réalisé 17 M€ de chiffres d’affaires en 2013 et vise les 18 millions en 2014 à périmètre constant. Un exercice 2014 qui devrait voir la concrétisation d’un rachat à Lille, «la seule métropole de plus de 500 000 habitants dont nous soyons absents» indique Philippe Mercier, directeur général du Groupe Betem. «Il nous manque une société d’étude de la nature des matériaux» précise-t-il. Toutefois, dans l’immédiat, c’est l’étranger que vise le groupe avec la constitution de Betem International. «Avec cette filiale, présidée par Frédéric Lidos, nous souhaitons réaliser 30 % de notre activité d’ingénierie à l’export» affirme Philippe Mercier. Jusque lors, c’est depuis Toulouse, en accompagnement de ses clients industriels toulousains que Betem travaillait à l’étranger : Airbus/Aerolia au Canada, centre d’intégration et d’essais de satellites Astrium au Kazakhstan ou encore Turkménistan pour Thales. Désormais, c’est par des partenariats locaux pérennes que se fera ce développement à l’export, particulièrement dans les pays émergents où le besoin est fort.
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