Toulouse-Labège En Midi-Pyrénées, 116 entreprises sont impliquées dans la robotique. Toulouse-Labège le Salon de la mécatronique. Les dernières ingéniosités y sont présentées
Après la mécanique, l’informatique et l’électronique, voici la mécatronique qui décline toutes ces disciplines à la fois et qui constitue la prochaine révolution industrielle. Midi-Pyrénées y est entrée de plain-pied et a acquis sa vitrine officielle à travers le 1er Carrefour de la mécatronique et de la robotique qui s’est ouvert hier à Diagora-Labège (31) avec 500 professionnels.
C’est bien sûr l’aéronautique et le spatial qui ont largement inspiré la tenue de ce salon toulousain qui s’est associé à la Région Rhône-Alpes et largement soutenu par les collectivités et les organismes économiques. Midi-Pyrénées figure parmi les trois régions pilote retenues pour le déploiement du Plan robotique d’Arnaud Montebourg. Un plan qui implique 116 entreprises régionales et doit permettre de renforcer notre potentiel en structurant les filières, de la robotique aux, tous créateurs de valeur.
Les drones constituent pour le grand public la partie la plus visible de cette science mécatronique en plein essor. Une dizaine de sociétés, des grands comptes comme Airbus à des PME, s’intéresse à ce marché encore coincé par des contraintes réglementaires», rappelle Christophe Nicot, directeur général de Midi-Pyrénées Innovation.
Véhicules sans chauffeur
Mais les robots, ce sont aussi les voitures intelligentes venues en force sur le salon. La «Link & Go» de la société Akka (Toulouse Basso Cambo) est un des plus beaux prototypes. «Si on ne retrouvera pas toute de suite ce véhicule électrique sans chauffeur sur nos routes, ses fonctions intelligentes pourront être rapidement retranscrites sur d’autres véhicules», souligne le chef de projet Akka, Luc Barthélémy. Pour la première fois était présentée également une voiture norvégienne «Think» équipée par Continental d’une aide à la conduite. Le véhicule développé dans le cadre du projet européen Pollux peut exécuter à la place du chauffeur les manœuvres de sortie de parking. Idéal pour les personnes à motricité réduite.
Avec ses cinq pôles de compétititivité mais aussi la labellisation par l’Etat de l’Institut de recherche technologique (IRIT) dédié à l’aéronautique, au spatial et aux systèmes embarqués, Toulouse était toute désignée pour ce premier rendez-vous du genre.
Après la mécanique, l’informatique et l’électronique, voici la mécatronique qui décline toutes ces disciplines à la fois et qui constitue la prochaine révolution industrielle. Midi-Pyrénées y est entrée de plain-pied et a acquis sa vitrine officielle à travers le 1er Carrefour de la mécatronique et de la robotique qui s’est ouvert hier à Diagora-Labège (31) avec 500 professionnels.
C’est bien sûr l’aéronautique et le spatial qui ont largement inspiré la tenue de ce salon toulousain qui s’est associé à la Région Rhône-Alpes et largement soutenu par les collectivités et les organismes économiques. Midi-Pyrénées figure parmi les trois régions pilote retenues pour le déploiement du Plan robotique d’Arnaud Montebourg. Un plan qui implique 116 entreprises régionales et doit permettre de renforcer notre potentiel en structurant les filières, de la robotique aux, tous créateurs de valeur.
Les drones constituent pour le grand public la partie la plus visible de cette science mécatronique en plein essor. Une dizaine de sociétés, des grands comptes comme Airbus à des PME, s’intéresse à ce marché encore coincé par des contraintes réglementaires», rappelle Christophe Nicot, directeur général de Midi-Pyrénées Innovation.
Véhicules sans chauffeur
Mais les robots, ce sont aussi les voitures intelligentes venues en force sur le salon. La «Link & Go» de la société Akka (Toulouse Basso Cambo) est un des plus beaux prototypes. «Si on ne retrouvera pas toute de suite ce véhicule électrique sans chauffeur sur nos routes, ses fonctions intelligentes pourront être rapidement retranscrites sur d’autres véhicules», souligne le chef de projet Akka, Luc Barthélémy. Pour la première fois était présentée également une voiture norvégienne «Think» équipée par Continental d’une aide à la conduite. Le véhicule développé dans le cadre du projet européen Pollux peut exécuter à la place du chauffeur les manœuvres de sortie de parking. Idéal pour les personnes à motricité réduite.
Avec ses cinq pôles de compétititivité mais aussi la labellisation par l’Etat de l’Institut de recherche technologique (IRIT) dédié à l’aéronautique, au spatial et aux systèmes embarqués, Toulouse était toute désignée pour ce premier rendez-vous du genre.
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